D’une bulle à l’autre, l’ère de l’économie globulaire

Chine


J’ai le plaisir de vous proposer cet essai sur l’économie globulaire de Philippe du Fresnay, un concept qui offre un cadre de réflexion très intéressant pour comprendre l’évolution des marchés.

Essayiste francophone, Philippe du Fresnay a étudié l’économie du développement au Centre Chine du CNRS, à l’université d’économie et de finance de Shanghai et à l’Ecole Normale de Taiwan. Egalement diplômé de l’INSEAD et du MAI, il a exercé des fonctions de direction en entreprise en France et en Asie, combinant ainsi une approche théorique avec une expérience de terrain. Auteur de « 100 questions sur la Chine » (Eska), Philippe du Fresnay est intervenu au Forum de Rennes 2013 aux côtés d’experts tels que Michel Rocard, Jean-Pierre Raffarin et Alain Finkelkraut. Ses travaux sur les interactions stratégiques entre économies développées et émergentes ont été publiés en France, en Suisse, en Israël, au Vietnam, à Hong Kong et en Chine.

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ARTICLE D’une bulle a l’autre-l’ere de l’Economie Globulaire-P.duFresnay-100913

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2 comments

  1. Jhacques   •  

    Merci pour l’idée de nous donner accès à une réflexion globale approfondie qui devrait permettre de mieux appréhender les grandes forces à l’œuvre dans la macroéconomie mondiale. Mais c’est sans doute une gageure de résumer en 2 pages un tel travail et, par souci de synthèse, l’article est tellement dense et abstrait que, pour ma part, je suis plutôt resté sur la touche.

    • Olivier Anger   •     Author

      Oui je vous le concède bien volontiers.
      J’ai de l’économie une vision en termes de flux et de vases communicants qui permet de comprendre simplement beaucoup de choses sans s’enfoncer dans des statistiques pléthoriques.
      Je trouve que l’image du corps humain et des globules y ressemble, et, sans entrer dans trop de détails, que c’est une idée à retenir, qui tient compte d’une analyse dynamique et non pas statique, laquelle a malheureusement fourvoyé l’Europe vers l’anémie qu’on lui connaît aujourd’hui.
      Bien à vous
      Olivier Anger

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