Il aura probablement suffi que les retraits massifs des banques grecques soient d’une ampleur suffisante la semaine dernière pour hâter la fin d’une partie de poker qui devenait insoutenable, autant pour le gouvernement d’Alexis Tsipras que pour une Union européenne confrontée à un risque de précédent déstabilisant et sans aucun avantage, puisque le remboursement partiel éventuel de la dette n’en aurait été rendu que plus irréalisable encore. Comme par enchantement, de nouvelles mesures ont donc été proposées en ce début…

