L’euro de plus en plus bas et le pétrole, même coté en dollars, et de plus en plus cher sont un cocktail qui n’a rien de particulièrement engageant pour une saine croissance de la consommation en Europe. Mais cela convient fort bien à court terme aux marchés, et peut-être aussi à la BCE dont les ambitions de retour de l’inflation à 2 % restent encore loin du compte. Pour l’heure, le CAC 40 confirme le franchissement majeur des 5567, convertit…

