Si le contexte est favorable aux constructeurs d’avions, l’inverse semble tout aussi vrai en ce qui concerne leurs utilisateurs, et tout particulièrement Air France.
A l’aune de restructurations pesantes, les deux prochaines années sont estimées en perte, ce qui n’invite pas particulièrement aux achats, et surtout à alléger en cas de retour à 4,60 euros au regard d’une configuration graphique bien négative.
Le titre semble néanmoins tenter une reprise sur le support des 3,80 EUR depuis deux séances, et pourrait y avoir trouvé un point bas intermédiaire, de façon à éviter un retour sur le plus bas historique récent à 3,40 euros.