Entre la radicalisation des propos d’Alexis Tsipras devant son parlement pour réitérer des dépenses non financées ou agréées dans leur mécanisme par la BCE, les mauvais chiffres du commerce chinois en janvier et les négociations incertaines à l’endroit de l’Ukraine, on aurait pu s’attendre à une séance nettement plus négative. Mais le comportement de fin de séance pour limiter la baisse à moins de 1% témoigne une fois encore de l’enthousiasme uniforme sinon béât des investisseurs. Le Cac 40 forme…

