Comme pour l’ensemble des banques en général, la valorisation des résultats à 6 fois les attentes de cette année, et 5,8 fois en 2025 est particulièrement faible, adossée à un rendement des dividendes de l’ordre de 8 %, ce qui se traduit évidemment par un ajustement des seuils graphiques lors des gaps résultant des distributions. A priori, cela devrait laisser une marge de revalorisation importante, notamment dans un contexte de baisse des taux, mais en revanche, la nature cyclique du…

