Si le moral des consommateurs est particulièrement bas des deux côtés de l’Atlantique, ce n’est pas le cas des investisseurs. Face à une croissance ralentie à 0,4 % en Europe au premier trimestre, surtout sous l’effet positif de l’Espagne et de l’Irlande, et à la surprise d’un PIB en retrait de -0,3 % aux États-Unis, les replis des indices ont vite été effacés, tandis que les indices européens terminent pour leur part le mois d’avril sur une nouvelle hausse. Malgré…

