Les prévisions des économistes étaient fausses. On pouvait s’y attendre, les grèves calamiteuses de décembre ont joué un rôle décisif dans la contraction du PIB de -0,1 % au lieu des 0,2 % de hausse béatement escomptés. L’Italie faisant pis encore avec un retrait de -0,3 % sur le trimestre, le PIB en Europe se limite à une expansion de 0,1 % au quatrième trimestre, et à peine supérieure à 1 % sur un an. Mais au regard de politiques…

