Entre la proximité de la Turquie avec l’Europe où la banque centrale perd toute crédibilité avec le limogeage de son gouverneur par Erdogan, lequel provoque une chute de 17 % de la livre, et les menaces de prolongation des restrictions anti-covid en Allemagne pour le mois d’avril, la détente sur les taux longs aux États-Unis et la reprise de leurs indices ne suffit pas à enrayer une consolidation dont l’ampleur reste modeste. Le CAC 40 revient s’appuyer avec précision sur…

