Les jours se suivent et ne se ressemblent pas toujours. L’humeur est assombrie par le violent recul de Peugeot au bénéfice de Fiat Chrysler, dans les termes d’une fusion peu équitable à 50/50, et par la réticence des Chinois à s’engager dans un accord global au motif de l’impulsivité de Donald Trump. Pour le moment, cela ne semble pas remettre en cause l’accord de phase 1 prévu à la mi-novembre, même si la signature ne se fera plus au Chili….

