De dépressifs à maniaques, les marchés continuent de passer d’une semaine à l’autrede la crainte de ralentissement lié aux politiques restrictives annoncées par les banques centrales, à l’euphorie suscitée par des chiffres d’inflation légèrement inférieurs aux attentes. Pourtant, il convient d’en mitiger l’impact, surtout en europe, dans la mesure où l’inflation sous-jacente, hors énergie et alimentation, ne donne pas de signes très concrets de retour vers la zone souhaitée des 2 %. En revanche, il est vrai qu’aux États-Unis les…

