Sous la menace d’un choc tarifaire brutal à partir du 1er août, l’Union européenne se voit contrainte d’accepter, hors acier et aluminium imposés à 50 %, des droits à l’exportation de 15 % vers les États-Unis, ce sans contrepartie, avec une exception du côté des avions et de seuils à définir sur les spiritueux et la pharmacie. Donald Trump est donc bien parti pour redresser en partie la balance commerciale déficitaire des États-Unis en matière de biens, tout en favorisant des investissements massifs…