Les marchés restent contaminés par une grande volatilité et cela risque de perdurer tant que les nouvelles ne s’améliorent pas sur le front du coronavirus en Europe, d’autant que le pétrole sujet à la guerre des prix et des parts de marché entre l’Arabie Saoudite et la Russie apporte une composante positive pour les consommateurs, mais déflationniste assortie d’un risque potentiel de crédit sur de nombreux acteurs du secteur aux États-Unis. En revanche, contrairement à ce que l’on pouvait penser…

