L’hiver est plutôt doux, les craintes de pénurie en énergie et la guerre en Ukraine ne sont plus perçues comme un problème à court terme et la première semaine de l’année s’achève sur une forte hausse des marchés européens, en divergence par rapport à des indices américains qui finissent du bon côté dans leur interprétation des chiffres de l’emploi pour le mois de décembre. Ceux-ci sont pourtant propices à ce que la Fed ne desserre en rien sa politique monétaire…

