Il n’y a guère motif à ce que les indices américains entament une correction alors que Jerome Powell laisse entrevoir une baisse de taux dès le mois de septembre, annonçant pour la première fois que ne pas le faire à temps pourrait menacer la croissance de l’économie américaine. Il semble en revanche que le CAC 40 soit en train de faire les frais de la franche dégradation politique et des risques de dérapage budgétaire supplémentaire qu’elle risque d’induire, comme ne…

