Curieusement, les marchés restent dans la plus totale indifférence aux propos des banques centrales, et aux futures hausses de taux qu’elles ont annoncées cette semaine, pour lutter contre une inflation en repli, plus nettement aux États-Unis qu’en Europe, mais largement persistante, très au-dessus des 2 % escomptés, et peut-être même vouée à remonter après quelques mois d’accalmie au cas où les couts de l’énergie reprendraient de la hauteur. À l’occasion de la séance des échéances trimestrielles, dite des 4 sorcières,…

