Alors que la baisse plus forte que prévue, révisée à -0,5 % pour le PIB américain au lieu de -0,2 % attendus au premier trimestre, propulse le dollar au-delà de 1,17 pour un euro, les marchés américains profitent de cette faiblesse pour anticiper des baisses de taux et poursuivre leur progression. Par ailleurs, Donald Trump pourrait chercher à nommer un nouveau président de la Fed dès le mois de septembre contrairement, à un contexte qui semble peser sur des indices européens…

