En dehors d’un climat un peu euphorique mais compréhensible, dont on trouve la manifestation à travers le S&P 500 qui parvient à déborder de très peu le seuil des 6000 points, les marchés américains n’ont guère motif à saisir lourdement des bénéfices, d’autant que l’incertitude qui aurait pu peser sur la période post-électorale n’est pas sujette à la moindre ambiguïté. En attendant mercredi des données importantes sur l’inflation aux États-Unis, laquelle pourrait donner quelques signes de reprise, le CAC 40…