Il ressort des dernières minutes des réunions de la BCE en décembre une divergence assez rare entre ses différents gouverneurs quant au risque porté par l’inflation et le rythme auquel elle parviendrait éventuellement à revenir vers la zone souhaitée des 2%. En ce sens, la banque centrale pourrait se montrer aussi bien favorable à un resserrement aujourd’hui non palpable de sa politique monétaire qu’à un futur assouplissement. Mais c’est surtout du côté américain que les marchés méritent l’attention. Les demandes…

