Après avoir bien apprécié la qualité remarquable du chômage américain au mois de juillet, lequel rassure en général sur l’état ralenti mais encore croissants des économies, avec des perspectives de consommation plutôt engageantes aux États-Unis, les catalyseurs en présence ne justifient pas d’importantes variations. Ce d’autant que la saison des résultats, meilleur que prévu, est proche de son terme. Le CAC 40 manque de l’enthousiasme et du volume nécessaires pour émettre un signal positif et puissant qui résulterait du franchissement…

