Les marchés conservent un biais défavorable, mais ni la révision du PIB du 2e trimestre à 3,1 % aux États-Unis, ni les grandes lignes de la réforme fiscale proposée par Donald Trump que Gary Cohn espère souhaite faire passer à la chambre des représentants en octobre puis au Sénat en novembre pour légiférer en décembre ne suscitent une hausse importante. Le CAC 40 termine la séance sur un chandelier de bonne facture sans franchir pour autant la résistance des 5300,…

