Les banques françaises restent très sous-évaluées dans la crainte d’éventuelles provisions insuffisantes pour litiges, si bien qu’un titre comme celui de Crédit Agricole cote tout juste 10 fois les résultats…
Les banques françaises restent très sous-évaluées dans la crainte d’éventuelles provisions insuffisantes pour litiges, si bien qu’un titre comme celui de Crédit Agricole cote tout juste 10 fois les résultats…