Le groupe alimentaire n’est pas extrêmement bon marché pour une croissance du chiffre d’affaires attendue de l’ordre de 4 % par an, un endettement représentant près deux ans du résultat brut, mais la marge de l’ordre de 15 %, la position dans un secteur défensif et un rendement supérieur à 3 % offre un profil solide. Sans attendre, comme la Société Générale, que le titre atteigne facilement les 80 euros, le graphique suggère une remontée potentielle vers 67 euros, sur…

