Avec des bénéfices capitalisés près de 25 fois les attentes de cette année, mais 19 fois celle de 2025, et une marge d’exploitation en voie de grimper de 12,6 % à 14,5 % sur la même période, le titre peut paraître encore chèrement valorisé, d’autant que l’endettement reste assez élevé, à près de 2 ans de résultat brut d’exploitation. En revanche, la configuration graphique paraît intéressante en attendant la publication du chiffre d’affaires le 31 juillet, lequel pourrait éventuellement réserver…

