Les attentats sont des événements particulièrement douloureux, mais les marchés ont appris ces dernières années qu’il est malavisé de se laisser aller à un réflexe immédiat négatif de panique dans le sillage de l’état psychologique qui en résulte. Dans la mesure où l’économie du pays touché risque de n’être affectée que très temporairement, les marchés ont tendance à très vite se ressaisir dans l’anticipation d’un effet de rattrapage, et peut-être aussi parce qu’ils peuvent être à la source de changements…

