Le scénario tranquille paraissait entendu pour les prochains mois du côté des banques centrales à l’issue de leurs différentes réunions de juin. Le désordre qui se produit sur les marchés en témoigne différemment, tout comme un besoin de saisir des bénéfices souvent copieux pour clôturer le semestre. Mais il est surtout le résultat de l’envol impressionnant de l’euro au-delà des 1,13 dollar sur les insinuations pourtant prudentes de Mario Draghi selon lesquelles la déflation étant derrière nous, ses récents propos…

