À moins d’un accident, les marchés n’ont aucune raison immédiate valable de corriger. La croissance du PIB américain pour le 4e trimestre est révisée en 3eme estimation à 2,1 % au lieu des 1,9 % évalués précédemment,et au-dessus des 2 % prévus, l’inflation en Europe ralentit comme prévu et donne raison à la politique ultra accommodante de Mario Draghi,tandis que les cours du brut reviennent flirter avec les 50 dollars le baril, le cartel des producteurs de l’OPEP paraissant déterminé…
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