Tantôt annoncé comme acquis, tantôt remis en question, le sujet des échéances grecques à l’égard du FMI tempère l’humeur du marché dans des proportions relativement bénignes, qui finissent par témoigner d’une importance assez relative dans le fond. Le CAC 40 qui avait bien grimpé la veille ne parvient pas à s’affranchir des 5200 mais forme sur la séance un chandelier plutôt de bonne facture, qui tend à convertir le seuil des 5100 en un soutien assez attrayant. Du côté américain,…

