Il suffit de voir le comportement des marchés pour comprendre que le marché américain n’est pas le problème. Celui-ci consolide très gentiment sa superbe avancée de la fin octobre tandis que l’Europe, dans son ensemble fait pire qu’effacer le formidable coup de booste japonais, à l’image des prévisions décourageantes de la Commission européenne jusqu’en 2016. Ainsi, le PIB en zone euro devrait ne croître que de 0,8 % cette année, pour passer à 1,1 % en 2015 et 1,7 %…

