Les marchés avaient bien grimpé au point de laisser peu de marge pour faire mieux encore sur le court terme, mais les fondamentaux positifs n’empêche pas un recul plus marqué en Europe qu’aux États-Unis, et beaucoup plus encore sur les petites valeurs que sur les grandes capitalisations du CAC 40, au point d’évoquer sur ce compartiment une correction complète de l’ordre de -8 % depuis le pic du 15 octobre. L’indice de confiance de l’Université se maintient à un niveau…

