le S&P 500 semble se refuser à l’enfoncement des 2040, mais à l’évidence les marchés sont rentrés dans un mode obsessionnel focalisé sur les cours du brut, comme s’ils n’étaient plus corrélés qu’à la fluctuation des contrats à terme sur le brut. La révision plutôt favorable de la croissance allemande de 1,7 à 1,8 % selon l’institut IFO n’a pas la moindre importance dans le sens de rappeler aux investisseurs que la croissance européenne se présente sous des auspices apparemment…

