Selon les estimations, le chiffre d’affaires de Renault devrait progresser de près de 10 % sur ces prochaines années, la trésorerie nette est excédentaire, et les bénéfices capitalisés selon un ratio extrêmement bas, inférieur à 3, qui souligne le manque de confiance du marché, mais peut-être une opportunité dans l’idée que les difficultés dans les chaînes d’approvisionnement finiront par s’estomper. D’un point de vue graphique, le titre présente une configuration plus favorable liée à la décision d’acheter sur le marché…