La forte chute observée lors des dernières heures de cotation de mai indique un émoi plus important en Europe qu’aux États-Unis face à la sortie d’un PIB du premier trimestre révisé en négatif à -0,7 % de croissance, un chiffre qui tend à affaiblir le dollar, et naturellement peser sur la performance des indices européens. Mais c’est aussi le sentiment très confus émanant des déclarations contradictoires des différents responsables européens sur l’issue du dossier grec qui aura offert un prétexte…

