Des résultats capitalisés 10 fois en 2012 pour une progression de l’ordre de 16 % à un an, une trésorerie excédentaire de plus de 600 millions qui pérennise largement le rendement de plus de 3 %, et un possible rapprochement avec Safran dans le sillage des rumeurs entourant EADS et BAE légitiment probablement la récente sortie du titre hors de son canal descendant de long terme.
Les graphiques à long et court terme suggèrent un prochain test des plus hauts de 2011 à 29,6 euros où une résistance délicate demande à être franchie pour enclencher un mouvement potentiel de récupération vers la zone des 34 euros.
En attendant, la configuration invite à prendre position si possible vers 27,80 euros, voire au cours actuel et l’on pourra renforcer en cas d’accès de faiblesse inattendue sur les supports inférieurs, et tant que le titre n’enfonce pas un support majeur à 26 EUR.