Le spécialiste des services de paiement de type professionnel en faveur de 50 millions de salariés dans 46 pays présente un ratio spectaculaire de marge d’exploitation qui devrait grimper de 31,1 % à plus de 33,5 % en 2022 sur un chiffre d’affaires censé progresser régulièrement de 10 à 15 % par an au cours des prochaines années. Il en résulte des bénéfices capitalisés 35 fois les attentes de cette année, mais moins de 30 fois ceux de 2023, et...
Il est évident que le chômage massif du moment est un handicap important au développement de la plateforme de paiements qui accompagne les salariés, et cela aura justifié chez Kepler Chevreux une révision de l’objectif de 45 à 40 euros. cela n’empêche pas le titre de conserver des fondamentaux solides avec une marge d’exploitation de l’ordre de 33 % pour des bénéfices capitalisés 28,4 fois les estimations de 2020, 23,5 fois celle de 2021 mais un endettements de l’ordre de...
En attendant la publication des résultats le 25 juillet avant bourse, Edenred vient d’annoncer des nouvelles engageantes dans le cadre d’un partenariat judicieux avec venteprivée.com, puis d’un accord selon lequel la IATA l’aurait choisi pour gérer la vente des billets aux agences de voyages. Bien qu’ils ne soient pas chiffrée, ce sont des éléments qui témoignent d’un élargissement du champ de compétences du groupe, ce qui à terme devrait refléter un potentiel supplémentaire de croissance. Pour l’heure, le titre présente...
Certains investisseurs adeptes de la pure value s’inquiéteront sans doute de bénéfices capitalisés 23 fois les attentes de 2016, mais avec des marges voisines de 33 % et une croissance attendue supérieure à 10 % par an en termes de résultats et de chiffre d’affaires, de tels ratios paraissent aisément justifiables. D’un point de vue graphique, après avoir formé un solide fond en W à 18,45 euros le titre est en train d’aborder sous un angle favorable un pivot majeur...
La présence d’Edenred au sein des économies émergentes sujettes à la récession et à la dépréciation de leur monnaie, notamment en Amérique latine, semblent susciter chez les analystes une méfiance récurrente et probablement excessive, à moins que leur analyse ne recèle quelques surprise plus ou moins scandaleuse cachée dans les placards. Dans la mesure où le groupe de services est un générateur structurel de cash-flow appuyé sur des coûts essentiellement salariaux locaux, il n’y a pourtant pas lieu de s’inquiéter...

