Certes, le secteur automobile est confronté à d’importantes difficultés, mais à force de baisser, le titre de l’équipementier capitalisé n’est pas cher, à 4,6 fois les bénéfices attendus cette année, pour chuter à 3 fois seulement en 2025 sur un chiffre d’affaires qui devrait progresser d’environ 4% sur une marge brute d’exploitation voisine de 12%. Le retour sur capitaux propres de 8 % devrait progresser à nouveau pour tendre vers 15 % en 2026. Le est lourdement très décoté, par...
Selon les estimations, l’équipementier automobile devrait voir son chiffre d’affaires augmenter de 5 à 6 % au cours des 2 prochaines années, sur une marge d’exploitation en progression de 5,7 % en 2023 à 6,8 % en 2025. L’endettement représentant 2 années de résultat brut d’exploitation devrait diminuer à 1,5 fois en 2025. Ce sont des chiffres plutôt favorables, qui se traduisent par des bénéfices capitalisés 13 fois les attentes de 2023, mais 4,8 fois seulement celles de 2025, grâce...
Selon les estimations, l’équipementier devrait voir son chiffre d’affaires augmenter d’environ 6 % par an au cours des 2 prochaines années pour une marge d’exploitation en amélioration constante, de 4,38% en 2022 pour grimper à 6,98% en 2025. L’augmentation marquée du cash-flow libre devrait se traduire par une nette amélioration du retour sur capitaux propres de 8 % en 2023 à 14% en 2024 et permettre à une dette importante qui représente encore 2 années de résultat brut d’exploitation de...
Avec un chiffre d’affaires prévu en progression de près de 10 % par an et un résultat brut d’exploitation censé croître plus rapidement sur une marge d’exploitation qui remonterait vers 7% cette année, jusqu’à 8% pour cent en 2023 l’équipementier présente des ratios fondamentaux de belle qualité puisque les résultats attendus seraient capitalisés 10 fois cette année, pour tomber à six fois en 2023. Dans ces conditions, la chute du titre qui n’a pas été épargné, à l’image de différents...
Selon les estimations, Faurecia devrait voir un vif rebond de ses résultats pour presqu’approcher dès cette année le niveau connu en 2019, et l’on ne peut exclure des surprises positives avec l’avènement de Stellantis sur une configuration sectorielle plutôt engageante. Le titre que j’avais proposé en mai dernier a franchi tous les paliers à 31,38 et 42 euros. La tendance positive suggère une poussée vers 48 euros, un seuil à déborder pour chercher le pic de 2019 à 53 euros....

