Appuyé sur des ambitions de croissance et de rentabilité supérieures à la moyenne d’un secteur aéronautique florissant, Figeac profite du regain d’intérêt pour les petites capitalisations à forte croissance. Après un rallye impressionnant, le potentiel de hausse supplémentaire sur les grandes valeurs du CAC 40 peut en effet paraître plus limité, moins porteur que certaines valeurs délaissées pendant plusieurs trimestres faute de liquidités. Selon les estimations, Figeac Aéro devrait voir son chiffre d’affaires croître à un rythme de 15 à...
Le spécialiste des pièces de structure en alliage léger et métaux durs à destination de l’industrie aéronautique n’a pas brillé par sa performance en 2018, probablement en raison d’un résultat d’exploitation en retrait sur un an pour un chiffre d’affaires en hausse. D’après les prévisions, 2019 devrait voir une augmentation de l’ordre de 20 % du résultat pour accélérer encore sur 2020 et 2021, ce qui permettrait au multiple de capitalisation des bénéfices de passer de 16,1 à 11,8 fois...
L’équipementier aéronautique a déçu à l’occasion de la publication de ses chiffres en raison d’un endettement qui reste élevé et d’une quasi stagnation du résultat brut d’exploitation, mais la croissance adossée sur un secteur en pleine expansion ne justifie probablement pas la sanction imposée sur le titre. Les chiffres d’affaires devraient en effet progresser sur les deux prochaines années à un rythme de l’ordre de 20 % ou plus sur des marges en progrès. D’un point de vue graphique, le...
Rares sont les valeurs dont les performances sont négatives depuis un an, et plus encore quand elles sont sur le secteur porteur de l’aéronautique. C’est pourtant le cas de Figeac Aero, malgré des résultats et un chiffre d’affaires en hausse de plus de 20 % par rapport à 2016, avec des projections qui devraient porter la capitalisation des bénéfices de 26 à 16 fois en 2018. La configuration graphique n’est pas engageante, mais le titre revient sur une zone de...
De prime abord, Figeac Aero peut paraître cher, à 21 fois les bénéfices attendus en 2016 pour une marge d’exploitation de l’ordre de 16 %. Mais le multiple chute à moins de 15 fois en 2017 en raison d’une croissance du chiffre d’affaires de plus de 40 %, de nature à surveiller de très près le mouvement de consolidation déjà important en place depuis les plus hauts de mars à 24,40 euros. En attendant plus de détails le 5 juillet...

