Selon les estimations, le groupe de luxe devrait quasiment retrouver cette année le chiffre d’affaires et le résultat brut d’exploitation de 2019, soit un résultat net en hausse de plus de 50 % par rapport à 2020, avant une nouvelle progression vers des records en 2022. Au cours actuel le titre capitalise 24 fois ses résultats attendus sur une marge nette remarquable prévue à 18% après 13,5% en 2020 et 14,5% en 2019, soit une marge brute de 27 %...
Selon les estimations, il faudra attendre 2022 pour que KERING retrouve un niveau de résultat d’exploitation supérieur à celui de 2019, et 2020 devrait voir une chute de plus de 30 % par rapport à 2019, des prévisions d’autant plus difficiles à établir qu’elles dépendront largement de la vitesse de rétablissement de l’économie. En revanche le cash-flow devrait progresser, ce qui contribue à la solidité du groupe et à la bonne tenue relative des cours. D’un point du graphique, le...
Malgré un performance remarquable on ne peut affirmer que Kering soit hyper-valorisée, avec des bénéfices capitalisés 29 fois les estimations de 2019, mais 21 fois seulement celles de 2020, sur une marge d’exploitation de 30%. D’un point de vue graphique le titre évolue de record en record après une sortie haussière significative à 535 euros. Il approche d’une ultime projection clé à 605 euros qui risque de faire résistance avant de pointer éventuellement vers 620 et 630 euros. L’idéal serait...
Kering est une valeur que la correction des dernières semaines est en train de rendre très attrayante d’un point de vue fondamental, avec des marges à 30 %, un endettement insignifiant, pour des cours capitalisés 22 fois les estimations de 2010, mais 16 fois seulement celles de 2020. Avec la forte correction de ces derniers jours, le titre vient de passer brièvement en-deçà d’un support majeur qui pourrait se convertir en résistanceà 455 euros. Mais au regard du comportement des...
Après ajustement pour détachement de dividende de 4 euros, Kering continue d’enthousiasmer le marché, à l’aune d’une marge d’exploitation de l’ordre de 26 % pour des bénéfices capitalisés moins de 25 fois sur un endettement modeste, ce qui reste raisonnable dans un contexte de croissance régulière tirée par la marque Gucci sur un secteur très porteur. Le titre évolue d’un point de vue graphique depuis 2009 dans un grand canal ascendant dont il est proche d’atteindre la borne haute à...

