Selon les estimations, le chiffre d’affaires de Michelin devrait progresser de plus de 10 % cette année et de l’ordre de 3 % au cours des 2 années suivantes sur une marge d’exploitation qui progresserait de 11,9% à 12,5% pour des bénéfices capitalisés 9 fois cette année, et moins de 8 fois en 2023 et 2024. Pour sa part, l’endettement n’est pas très significatif, ce qui assure une belle solidité financière un groupe qui n’est pas très cher fondamentalement. D’un...
Le pneumaticien dont les marges devraient revenir dès cette année au-delà des niveaux de 2018 à 12,7 % sur un chiffre d’affaires en hausse de 15%, légèrement inférieur à celui de 2019, présente un profil fondamental solide. L’endettement ne représente que 6 mois de résultat brut, et les bénéfices capitalisés 13 fois cette année devraient régresser progressivement vers 10,5 fois en 2023. D’un point de vue graphique, le titre présente une grande volatilité à l’image de la chute en cascade...
Les perspectives de récupération du pneumaticien sont attrayantes avec la sortie de la pandémie, et surtout la marge d’exploitation qui devrait dès 2022 atteindre un record de 13% en 2022, permettant de dégager un résultat brut d’exploitation légèrement supérieur à celui de 2019. Il en résulte des bénéfices attendus cette année capitalisés 15 fois, et 12,5 fois ceux de 2022, soit un multiple légèrement supérieur à la moyenne historique. D’un point de vue graphique, le titre vient de s’affranchir de...
Dans le cadre d’un retour prévisible à une activité économique normale dans le courant de 2021 les valeurs cycliques ont profité des extraordinaires résultats des vaccins pour déclencher une forte hausse sur les marchés, dont les valeurs automobiles, et, bien sûr, Michelin, un groupe très solide, qui retrouvera en 2022 les excellents chiffres de 2019 sur des taux plus bas et une frande abondance de liquidités.. Le titre a explosé une résistance majeure à 98 euros, qui lui ouvre la...
Rares sont les entreprises dont le ratio de capitalisation des bénéfices est inférieur à la marge d’exploitation. C’est le cas de Michelin dont les fondamentaux restent extrêmement solides, avec une marge d’exploitation proche de 13 % pour des bénéfices capitalisés moins de 10 fois en 2018, et moins de neuf fois les attentes de 2019 pour un endettement de l’ordre de neuf mois de résultat brut d’exploitation. Pourtant,le titre a vivement décroché depuis ses plus hauts de janvier dernier vers...