Valeur de croissance dans un secteur plutôt défensif, Orpéa présente des caractéristiques remarquables de croissance forte et régulière associées à une marge d’exploitation supérieure à 13 %, qui permet sans difficulté d’absorber un endettement à hauteur de la moitié de la capitalisation à travers une mécanique d’ingéniering immobilier et financier bien huilée. Cela n’aura pas empêché le titre de subir une récente dégradation d’analyste et de chuter rapidement à travers des supports qui risquent de se convertir en résistance à...
De la croissance et des marges substantielle de l’ordre de 12 % n’ont aucun motif à s’effondrer dans un secteur très porteur pour une société leader comme Orpea. Mais la dette qui représente 40 % de la valeur d’entreprise effraie les marchés comme un réflexe conditionné face au risque d’une envolée des taux d’intérêt, même si les dossiers de financement des opérations sont largement bien ficelés depuis longtemps. Du coup, le titre d’Orpea, d’ordinaire jugé comme défensif, n’a pas été...
Le leader européen de la prise en charge de la dépendance, exploitants de maisons de retraite et de clinique de soins dont les résultats seront publiés le 26 septembre présente un profil toujours très solide avec des marges d’exploitation de l’ordre de 13 % et une belle visibilité qui peuvent justifier des ratios élevés puisque les attentes de bénéfices sont capitalisées 30 fois cette année, et 26 fois celle de 2018. Le titre qui évolue dans un grand canal ascendant...
Champion d’une croissance régulière forte sur le créneau très porteur de la prise en charge de la dépendance, Orpéa se traite à des cours relativement élevés, représentant 25 fois les bénéfices attendus en 2016. Mais il faut dire que la croissance est régulièrement supérieure aux attentes, et que le cash-flow dépasse les 11 % du chiffre d’affaires, d’où une tendance haussière pérenne. À la veille de la publication des chiffres du 3e trimestre et après un premier semestre de belle...
Orpea n’a pas échappé à la chute du marché dans la perspective du Brexit, et pourtant le groupe n’a guère motif à s’en soucier. Ses activités de prise en charge globale de la dépendance à travers l’exploitation de maisons de retraite et cliniques de soins n’ont pas la moindre implication à ce jour avec la Grande-Bretagne, d’où un impact fondamental inexistant. Pourtant, le titre a cassé un support important à 71,50 euros après avoir plafonné au niveau de ses plus...

