Selon les estimations, le groupe est capable de maintenir un rythme de croissance de son chiffre d’affaires proche de 5 % au cours des prochaines années, et le résultat net devrait, quant à lui, progresser d’environ 10 %, après 12 % cette année, pour une marge brute d’exploitation de 13 %, un retour sur capitaux propres de 13 %, et des bénéfices capitalisés 11 fois cette année, soit 9,8 fois en 2026. Par ailleurs, l’endettement à une fois le résultat...
Adossé à 33 marques emblématiques, le leader mondial du petit équipement domestique fait état depuis plusieurs trimestres d’une croissance organique de l’ordre de 7 à 9 %, supérieure à des prévisions modérées, qui s’établissent à 4 % par an pour les 2 prochaines années. Les fondamentaux sont solides, avec une marge d’exploitation qui progresse de 8,6 % en 2023 vers 10 % en 2025, un retour sur capitaux propres de l’ordre de 13 % et un endettement censé diminuer de 2...
Le leader mondial du petit équipement domestique présente un profil de croissance solide mais modérée de l’ordre de 3 à 5% par an en termes de chiffre d’affaires, avec un résultat d’exploitation en hausse comparable sur une marge néanmoins confortable proche de 10 % qui pourrait justifier des bénéfices capitalisés 17 fois cette année, et de l’ordre de 14 fois en 2023 Après une phase de correction sensible depuis le plus haut à 157 euros en juin le titre semble...
Apprécié pour la croissance régulière de son chiffre d’affaires, le Groupe SEB très implanté en Chine subit de plein fouet les mesures visant à lutter contre le virus, mais on peut penser qu’à la faveur d’une relative stabilisation des nouveaux cas infectés ces prochains jours suivie d’une injection massive de mesures monétaires pour doper la consommation le titre devrait se ressaisir. D’un point de vue fondamental, il se traite 13,3 fois les bénéfices attendus en 2020 et 12 fois ceux...
Avec des bénéfices capitalisés moins de 15 fois les estimations de cette année et 13 fois celles de 2019 pour une marge brute voisine de 10 %, le groupe SEB n’a jamais été aussi bon marché depuis 2012 en termes de PER. Cela est à la fois la conséquence d’une lourde correction initiée avec la rupture d’un support majeur à 143 euros, à la sortie d’une longue phase de consolidation latérale. Le titre a manqué par la suite de se...

