Vers un Brexit dur, ou très dur

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À moins que le Parlement ne s’y oppose en dernier recours, Theresa May a clairement défini le chemin. Le Royaume-Uni sort du marché unique, et il appartiendra finalement à l’Europe de choisir si elle est disposée à négocier un accord de libre-échange, et ouverte à une grande coopération, ou si elle s’engage vers une position plus dure, d’autant plus néfaste que les États-Unis s’orientent à l’évidence vers un traitement de faveur envers le Royaume-Uni. Dans un marché qui se retrouve…

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