Il n’y a évidemment aucun problème avec la fabrication des avions, mais le marché se fait des frayeurs avec la crainte de ventes de titres de participation d’état qui viennent affecter autant Airbus que Safran. A 16 fois les bénéfices estimés de 2014 et une croissance pérenne attendue pour de nombreuses années, l’accès de faiblesse actuel est une excellent occasion de revenir sur le titre, et plus encore s’il nous faisait la faveur de tester le support majeur des 47,50…

