Avec un endettement représentant les trois quarts de capitalisation, les chiffres d’Arcelor ne sont pas particulièrement brillants. En cause, la baisse catastrophique des prix de l’acier et les surcapacités chinoises depuis plus d’un an. Mais à l’inverse de la conjoncture pétrolière où l’on ne voit personne souhaiter prendre des mesures de stabilisation de l’offre, l’acier fait l’objet d’une remontée des cours depuis près d’un mois, alors que la Chine se fixe pour objectif, à travers un fonds d’aide, d’éliminer ses…
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