Les titres cotés en France capables de dégager une marge nette supérieure à 16 % et une marge d’exploitation voisine de 30% ne sont pas légion. Cela explique largement une capitalisation des bénéfices estimée à près de 35 fois cette année et 28,5 fois ceux de 2015 pour une entreprise unique dans son domaine. Sur un plan graphique, le titre n’a pas échappé à la forte correction jusqu’à tester un support important à 46 euros, avant de former un chandelier…

