Entre les craintes de bruits de bottes à la frontière ukrainienne, le prolongement manifeste de la récession en Italie depuis quasiment quatre ans, et la réduction brutale de 3 % de la production industrielle allemande au lieu des 0,9 % d’augmentation attendue par les économistes, les marchés européens n’ont quasiment aucun motif pour se ressaisir. Mais il faut croire que le support technique des 4170 n’est pas insignifiant puisque le CAC 40 parvient à former sur ce seuil un chandelier…

