L’épouvantail des élections grecques et de la victoire du parti de gauche Syriza en Grèce n’a pas franchement réussi à faire fuir les moineaux haussiers. Le marché absorbe avec une parfaite désinvolture un risque de défaut grec qu’il estime extrêmement limité, et qui ne fait guère le poids face à l’intervention de la BCE, avec les traditionnels effets mécaniques haussiers de tout Q.E. sur les actifs financiers. Avec l’appui d’un indicateur IFO un peu meilleur que prévu en Allemagne, le…

