Le ralentissement en Asie affecte la croissance du secteur du luxe, mais surtout le secteur de l’horlogerie, auquel LVMH n’est pas particulièrement exposé. Par ailleurs la baisse sensible de l’euro apporte un regain de compétitivité à la distribution française de luxe, et cela devrait permettre au groupe de conserver une dynamique assez positive incluant une prime à la qualité des marques et justifiant une capitalisation actuelle de 16 fois les bénéfices de 2012 pour une croissance attendue limitée à 12 %.
Sur un plan graphique, on constate qu’il est toujours difficile de déborder le cap des 121 euros, et au mieux celui d’une oblique baissière désormais située un peu en dessous de la résistance des 125 euros.
En revanche les replis vers 113,50 a fortiori à 110.5 euros restent très attrayants…