Il est difficile de s’enthousiasmer démesurément pour un dossier aussi lourd qu’EDF, mais d’un point de vue purement fondamental le rendement de 7,4% et les ratios financiers avec des bénéfices capitalisés moins de 9 fois sur une valeur d’entreprise inférieure à 5 fois le résultat d’exploitation finissent par justifier le rebond récent sur la base des 15 euros. Il ne serait pas surprenant que le rebond se prolonge jusqu’à 17,50 euros dans un premier temps, quitte à pousser vers 19,50...
Il est difficile de se montrer très enthousiaste sur la configuration d’EDF. Le titre continue d’évoluer dans un canal de tendance descendant à long terme. Mais sur un plan fondamental, la valeur n’est pas chère, avec des bénéfices capitalisés moins de 10 fois pour une marge nette de l’ordre de 5,5%, un rendement supérieur à 6 % et un cash flow capable de soutenir sans difficulté un endettement élevé. La réaction positive du jour, probablement liée à la perspective de...
Avec des résultats qui augmentent sensiblement plus rapidement que le chiffre d’affaires, EDF témoigne d’un pricing power plutôt de bon augure, qui justifie certainement un accueil positif et une sortie de congestion marquée d’un puissant volume au-delà de 26 euros. La configuration reprend de ce faite une dynamique engageante, de nature à enclencher un retour potentiel vers 34,30 euros dès que le titre aura plus se franchir d’une zone de résistance dont on trouve les fondements en 2010. En attendant,...
Les entreprises dont l’actionnaire principal est l’état ne sont pas particulièrement confortables pour l’actionnaire privé. C’est ce qu’aura démontré EDF en plongeant depuis 2008 de 70 euros jusqu’à un plus bas à 13 euros en novembre dernier. Mais depuis, le titre a clairement inversé sa tendance baissière, en franchissant dans un premier temps le seuil des 15 €, puis 17 €, et ce jour en ouvrant sur un gap d’échappement directement au-dessus du sommet précédant à 18,50 euros. À l’évidence, […]
Il semble difficile de se montrer démesurément enthousiaste sur une valeur lourdement détenue par l’État comme EDF, mais le rendement de l’ordre de 8 % et une capitalisation des bénéfices inférieure à 9 fois reflète un prix raisonnable. Surtout, ce qui nous interpelle, c’est la capacité du titre à s’affranchir enfin d’une résistance oblique descendante qui coiffait les cours depuis le sommet de 2008 au-delà de 70 €, en concomitance avec la sortie au-delà d’une zone de résistance importante entre […]



