Vous pouvez écouter en quelques minutes notre synthèse de la semaine écoulée et l’analyse que nous faisons d’un contexte tendu après une fin de semaine très décevante
Vous pouvez écouter en quelques minutes notre synthèse de la semaine écoulée et l’analyse que nous faisons d’un contexte tendu après une fin de semaine très décevante
très belle analyse et pertinente
MERCI à vous
C’est vrai que ca va tellement bien aux usa…
peu de dettes privées, reserve d’epargne, marché immo superbe, budget d’etat a l’equilibre et magnifique gestion politique…
Merci de ce commentaire acerbe, que je ne nie pas, et qui me donne l’occasion de dire que je préfère, en tant qu’investisseur, un pays qui cherche à se relancer et à générer de la croissance pour espérer s’en sortir et réduire une fois les résultats obtenus son endettement, qu’une région au bord de la récession, obsédée par un désendettement que cette même absence de croissance rendra impossible, voire plus cher au bout du compte.
Il aurait fallu beaucoup moins s’endetter au niveau des états si l’on avait décidé (et pu) sauver Lehman, et évité le crack de 2008…
Les cracks (boursier + immobilier) détruisent tellement de richesse que les systèmes sont toujours obligés de créer plus de dette encore pour la compenser.
Créons de la richesse (bulle diront certains) et il y aura de quoi ponctionner pour réduire les dettes.
Appauvrissons nous, on ne parviendra pas à se désendetter et il n’y aura que souffrance, indigence, et ralentissement du progrès humain.
Plus il y a de riches et de richesse, plus on peut aider les « pauvres »…
C’est une question de philosophie et de ce côté je crois comprendre celle qui prévaut aux Etats-Unis, mais j’ai beaucoup de mal à saisir celle qui étouffe une Europe, qui au regard de ce qui vient de se passer, n’a pas l’apanage des meilleures solutions.
Comme disait Jean Edouard Leclerc ce matin sur BFM, le problème actuel de l’Europe c’est de raisonner en statique, et pas en dynamique. C’est ce que je voulais dire l’autre jour en disant que nous étions hélas dirigés par des « comptables ».
En bref, il serait agréable de voir comme aux Etats-Unis des politiques européens terriblement plus préoccupés par un objectif minimum de croissance à atteindre, que par l’incantation à une règle d’or accessoire.